Comment réduire le bruit dans un restaurant ?

Cette question se pose fréquemment pour des espaces de restauration collective ; pas seulement dans les cantines des écoles, des universités ou des entreprise ni dans les fast-foods (ils sont alors principalement fréquentés pour se nourrir), mais aussi dans d’autres endroits où l’on se rend pour joindre l’utile (manger et boire) à l’agréable : i.e. en passant un bon moment e.g. en famille, ou avec des amis, voire seul (si les circonstances l’imposent ou bien si l’on a fait ce choix), dans une brasserie, un café ou un pub, ou dans un restaurant : avec ou sans distinction dans les guides spécialisés, à propos desquels force est de constater qu’ils n’informent pas toujours aussi suffisamment que souhaitable sur l’ambiance sonore des lieux qu’ils répertorient.

Car nombreux sont les établissements culinaires dans lesquels le confort acoustique laisse à désirer, ce qui est souvent à l’origine d’une surenchère sonore, notamment du fait des difficultés éprouvées par les occupants (convives ou employés e.g. ceux affectés au service en salle) pour se faire entendre.

Au surplus, les bruits liés à la manipulation (même délicate, mais comment éviter des chocs ?) de couverts, de verres, d’assiettes, de plats, de carafes et de bouteilles et ceux liés au circulations (du personnel et des usagers e.g. lorsqu’ils nécessitent le mouvement de chaises ou de fauteuils - le problème se pose aussi pour les tabourets -) sont parfois indûment amplifiés, au point d’être perçus comme très désagréables voire agressifs (et il n’y a pas que ceux qui ont l’ouïe fine pour s’en plaindre, alors).

Sans parler de l’insupportable présence de musique (a fortiori : si amplifiée) lorsque la salle de restauration est impropre pour un tel usage, faute d’une conception ou d’un aménagement idoine.

De tout cela il peut résulter dans un restaurant un brouhaha peu propice aux discussions (encore moins : à l’écoute d’enregistrements musicaux ou du jeu d’un orchestre) et, à plus ou moins long terme, défavorable à la fréquentation (on n’a parfois qu’une envie : s’extraire au plus vite et ne jamais revenir), le bouche à oreille faisant alors souvent son office.

  • dans de telles situations, un déficit en matériaux absorbant suffisamment les sons aux fréquences médium et aigues (i.e. dans les bandes de fréquence centrées sur 500, 1000 et 2000 Hz où se contrent les émissions sonores en relation avec la parole) est souvent en cause.

Comment réduire le bruit dans un restaurant dans ce cas ?

Il faut alors revêtir murs et plafond (pas forcément en totalité : s’agissant des parois verticales, la présence de grandes baies vitrées, si elles procurent souvent un confort visuel - a fortiori si l’extérieur s’y prête - est parfois un problème de toutes façons,) de dispositifs d’insonorisation, qui se présentent généralement sous la forme de plaques ou de panneaux, qui peuvent être posées verticalement ou horizontalement (ou bien encore : en suivant la pente d’une toiture, le cas échéant), voire : qui peuvent être suspendus, avec des formes plus ou moins sophistiquées.

Il peut être signalé que la mise en œuvre d’une moquette (ne justifiant, généralement, que d’un coefficient d’absorption acoustique au mieux égal à 0.1) peut également constituer un recours, lorsqu’il s’agit de limiter la réverbération d’un local de restauration dans une perspective de limitation du bruit.

  • par ailleurs, l’absence de séparations entre tables (a fortiori si elles sont rapprochées, parfois au point de conduire à une surpopulation de l’espace qui, alors, limite les améliorations en terme d’acoustique) peut constituer une circonstance aggravante vis-à-vis de l’inconfort sonore, lorsque rien ne s’oppose (suffisamment) à la propagation du bruit d’une table vers le tables voisines.

Comment réduire le bruit dans un restaurant dans ce cas ?

La mise en œuvre de claustras (paravents) ayant une fonctionnalité en terme d’insonorisation (ils ne doivent pas être ajourés et ils doivent avoir une masse surfacique suffisante) permet de pallier à ce manque, le choix de produits justifiant (aussi) de performances en terme d’absorption acoustique (i.e. pour leur capacité à ne pas réfléchir les ondes sonores) étant bien sûr plus que recommandé.

Quand il s’agit de savoir comment réduire le bruit dans un restaurant, on peut consulter Isolation Technologie Services (ITS) pour obtenir, au terme d’une étude contextualisée, des solutions optimisées.

 

Comment réduire le bruit dans un restaurant ?

Cette question se pose fréquemment pour des espaces de restauration collective (pas seulement dans les cantines des écoles, des universités ou des entreprise ni dans les fast-foods - ils sont alors principalement fréquentés pour se nourrir -, mais aussi dans d’autres endroits où l’on se rend pour joindre l’utile - de préférence : en se régalant - à l’agréable : i.e. en passant un bon moment e.g. en famille, ou avec des amis, voire : seul – si les circonstances l’imposant ou bien si l’on a fait ce choix -, dans une brasserie, un café ou un pub, ou dans un restaurant : avec ou sans distinction dans les guides spécialisés, à propos desquels force est de constater qu’ils n’informent pas toujours aussi suffisamment que souhaitable sur l’ambiance sonore des lieux qu’ils répertorient).

Car nombreux sont les établissements culinaires dans lesquels le confort acoustique laisse à désirer, ce qui est souvent à l’origine d’une surenchère sonore, notamment du fait des difficultés éprouvées par les occupants (convives ou employés e.g. ceux affectés au service en salle) pour se faire entendre.

Au surplus, les bruits liés à la manipulation (même délicate, mais comment éviter des chocs ?) de couverts, de verres, d’assiettes, de plats, de carafes et de bouteilles et ceux liés au circulations (du personnel et des usagers e.g. lorsqu’ils nécessitent le mouvement de chaises ou de fauteuils – le problème se pose aussi pour les tabourets) sont parfois indûment amplifiés, au point d’être perçus comme très désagréables voire agressifs (et il n’y a pas que ceux qui ont l’ouïe fine pour s’en plaindre, alors).

Sans parler de l’insupportable présence de musique (a fortiori : si amplifiée) lorsque la salle de restauration est impropre pour un tel usage, faute d’une conception ou d’un aménagement idoine.

De tout cela il peut résulter dans un restaurant un brouhaha peu propice aux discussions (encore moins : à l’écoute d’enregistrements musicaux ou du jeu d’un orchestre) et, à plus ou moins long terme, défavorable à la fréquentation (on n’a parfois qu’une envie : s’extraire au plus vite et ne jamais revenir), le bouche à oreille (qui a été malmenée) faisant alors souvent son office.

>dans de telles situations, un déficit en matériaux absorbant suffisamment les sons aux fréquences médium et aigues (i.e. dans les bandes de fréquence centrées sur 500, 1000 et 2000 Hz où se contrent les émissions sonores en relation avec la parole) est souvent en cause.

Comment réduire le bruit dans un restaurant dans ce cas ?

Il faut alors revêtir murs et plafond (pas forcément en totalité : s’agissant des parois verticales, la présence de grandes baies vitrées, si elles procurent souvent un confort visuel - a fortiori si l’extérieur s’y prête - est parfois un problème de toutes façons,) de dispositifs d’insonorisation, qui se présentent généralement sous la forme de plaques ou de panneaux, qui peuvent être posées verticalement ou horizontalement (ou bien encore : en suivant la pente d’une toiture, le cas échéant), voire : qui peuvent être suspendus, avec des formes plus ou moins sophistiquées.

Il peut être signalé que la mise en œuvre d’une moquette (ne justifiant que d’un coefficient d’absorption acoustique au mieux égal à 0.1) peut également constituer un recours, lorsqu’il s’agit de limiter la réverbération d’un local de restauration dans une perspective de limitation du bruit.

>par ailleurs, l’absence de séparations entre tables (a fortiori si elles sont rapprochées, parfois au point de conduire à une surpopulation de l’espace qui alors, limite les améliorations en terme d’acoustique) peut constituer une circonstance aggravante vis-à-vis de l’inconfort sonore, lorsque rien ne s’oppose (suffisamment) à la propagation du bruit d’une table vers le tables voisines.

Comment réduire le bruit dans un restaurant dans ce cas ?

La mise en œuvre de claustras (paravents) ayant une fonctionnalité en terme d’insonorisation (ils ne doivent pas être ajourés et ils doivent avoir une masse surfacique suffisante) permet de pallier à ce manque, le choix de produits justifiant (aussi) de performances en terme d’absorption acoustique (i.e. pour leur capacité à ne pas réfléchir les ondes sonores) étant bien sûr plus que recommandé.

Quand il s’agit de savoir comment réduire le bruit dans un restaurant, on peut consulter Isolation Technologie Services (ITS) pour obtenir, au terme d’une étude contextualisée, des solutions optimisées.